Sujet d’une manipulation diabolique qui le conduit par le bout du nez dans un roadtrip vers l’enfer, Pierre n’a pour arme que son amour pour sa fille Anouk. D’autres, beaucoup plus méchants, sauront user d’un arsenal poids lourd pour parvenir à leur funèbre objectif: un horrible carnage.
Une fois de plus, Simon Vermot mêle fiction et réalité en nous laissant à peine le temps de respirer. Un thriller qui vous prend aux tripes pour ne plus vous lâcher.

Les plaies de l’enfance ne s’effacent jamais. Elles peuvent même s’avérer vénéneuses voire mortelles…

Un mystérieux voilier qui accoste dans un port du Léman. Une femme terroriste et une autre qui la traque. De la Fête des Vignerons à celle de l’Escalade de Genève, de Rome à Dakar en passant par Athènes, Barcelone et Paris, larmes, amour, sang et trahisons. Entre réel et imaginaire, un thriller à suspens, très difficile à lâcher avant la fin.

Communiqué de presse : La salamandre noire

Et si on supprimait l’argent ? Effaceées les ineégaliteés, la course au profit. Chacun aide chacun.

Un Prix Nobel, une comtesse richissime, une famille sicilienne soucieuse du bien-être commun. Et puis Tom, un petit gars de huit ans promu au rang de star internationale. Simon Vermot retrouve Pierre, son héros journaliste, et sa fille Anouk, dans ce thriller en prise directe avec l’actualité. L’argent, le fric, le flouze, est-il vrai- ment nécessaire ? N’est-il pas source de mille maux dont on se passerait bien ? Dans ce roman haletant, on ira jusqu’à tuer pour freiner cette réflexion en train de gagner le monde entier. On trahira, on aimera, on se perdra dans ce labyrinthe tortueux où, finalement, la parole d’un gamin mettra tout le monde d’accord. Un polar à cent à l’heure, comme cet auteur nous y a habitués

Accident Vasculaire Cérébral.
Les signes avant-coureurs permettant de le diagnostiquer…
Un drame en constante évolution qui peut frapper n’importe qui…
Un témoignage sur le vif, chargé d’une émotion bouleversante.

Ce samedi n’est guère différent des précédents. J’aide mon père à récurer le sol graisseux des ateliers et procède, une fois le dernier coup de serpillière donné, au rituel qui nous fait rire à chaque fois. Nous nous positionnons à l’entrée de chacun des locaux nettoyés, dressant nos brosses comme des fusils au garde-à-vous. Et d’une seule voix déclamons haut et fort:
- Allez tous chier!
Cette phrase, je me la remémore lorsqu’on me fait monter, les bracelets toujours aux poignets, à l’arrière de la voiture de police. Je suis effondré, lessivé, tordu par la douleur. Et les deux flics allument tranquillement une cigarette en me ramenant à ma prison sans me dire un seul mot. J’en ai au moins pour quinze ans. Quinze ans de vie foutue. Le cœur d’Elvira m’attendra-t-il jusque-là ? Et le mien ?

Pierre est un homme ambitieux. Ambitieux de réussir et d’aimer. Marie-Claire est une femme qui aime les hommes, dont Pierre. Elvira, elle, n’aime que Pierre.
Deux femmes dans la vie de Pierre, trois êtres en équilibre entre réel et illusion dans un monde qui s’ingénie à les empêcher de se trouver et d’être heureux.
L’ambition, la religion, l’amour : un cocktail hautement explosif qui mènera le héros jusqu’à la folie. Ecrit dans un style sobre et dynamique, un roman très actuel.

En 1919, Marcel Duchamp se permit de souligner par les lettres L.H.O.O.Q. une reproduction de la Joconde, dotée pour la circonstance d'une moustache et d'une
barbiche tracées au crayon.
«P T de rire» reprend et développe ce fameux gag, utilisant la sonorité des lettres
pour construire de petites phrases ou de petites histoires surréalistes. C'est ce que l'on appelle des allographes.
Ainsi, P T de rire !, le titre de cet ouvrage, veut dire bien sûr «péter de rire!». Une
centaine de phrases, toutes originales, sont ainsi soumises à votre lecture. Tantôt
provocatrices, drôles ou sentencieuses, ces formules bouleversent nos habitudes
de décryptage d'un texte, chacun des caractères qui les forment étant, en les
épelant, partie sonore de celui-ci. Décalées et finement humoristiques, les illustrations se marient on ne peut mieux au propos, le tout se faisant le véhicule
d'une bonne humeur contagieuse.

Les années, sauf accident, n’effacent pas la mémoire des archives. Celles du Messager boiteux, fort heureusement, n’ont pas eu à subir les affres de la destruction et, depuis plus de 300 ans, sont précieusement conservées constituant ainsi une source intéressante pour quiconque désireux de connaître notre passé. Les catastrophes en font, hélas, partie et, si elles ont marqué au cœur ceux qui en ont été témoins, le vent du temps s’est souvent chargé d’effacer leur souvenir. Aussi, avons-nous décidé de retrouver les récits de ces drames et de les publier tels qu’ils ont été décrits par les journalistes d’alors. Nous avons, certes, voulu là démontrer notre inanité face aux forces de la nature, mais aussi aider à réfléchir, à comprendre la fragilité de notre existence, entièrement soumise aux caprices d’une puissance bienveillante ou extraordinairement destructrice. La Terre n’appartient pas aux hommes. Ce sont ceux-ci qui lui sont assujettis.
Tempêtes, séismes, inondations, incendies, avalanches, irruptions volcaniques ne sont rien de moins que l’affirmation de sa domination, de son emprise sur le destin. Dès lors, la comparaison entre les catastrophes du passé et celles que nous vivons aujourd’hui illustre à l’évidence, et malgré les progrès de la technique ou de la science, que rien de cela n’est maîtrisable, ou peu s’en faut. De tout temps, les éléments en colère ont gagné la bataille contre les hommes et ce n’est pas près de changer. Car, si l’on est sûr que la comète de Halley repasse régulièrement dans notre ciel tous les septante-six ans depuis au moins 2000 ans, personne encore ne peut prévoir de manière certaine les catastrophes et autres drames que notre planète nous réserve…
C’est alors que l’humilité de notre condition surgit, que la question même de l’importance de notre existence est remise en question. Quelle réponse pouvons-nous donner à cela? Chacun la trouvera en lui, selon l’interprétation qu’il fera de ces textes réunis et somptueusement illustrés de bois gravés originaux.

Les faits-divers et, notamment, ceux ayant trait à la délinquance, semblent exercer sur les êtres humains une obscure fascination. Il est difficile d’établir les origines de cette sorte d’envoûtement, mais sa présence constante dans la mythologie de tous les peuples anciens suggère qu’il a toujours été bien présent.
La preuve nous en a été donnée en feuilletant les archives du Messager boiteux qui, depuis plus de 300 ans, relate la vie du monde, y compris ses aspects les plus noirs.
Aussi avons-nous imaginé vous offrir, réunis dans un ouvrage de près de 200 pages, ces horrifiantes histoires empruntées au passé, une sorte d’anthologie des faits-divers rapportés dans notre almanach durant les XVIIIe et XIXe siècles.
Racontés par le menu sous la plume des journalistes de l’époque, parfois clos d’une sentence dont la morale peut prêter aujourd’hui à sourire, ces textes constituent un témoignage extrêmement fort sur la criminalité d’antan, mais aussi un moyen d’en mesurer l’évolution dans notre société. Et, curieusement, confrontés à ceux lus quotidiennement dans nos journaux, ces drames n’ont que peu de différence, finalement, si ce n’est celle des châtiments, sans commune mesure avec les peines prononcées de nos jours.
Si, souvent, on y découvre une violence inouïe engendrée, notamment, par l’obscurantisme ou les croyances religieuses, ces assassinats, ces tragédies, ces sordides histoires de famille agissent parfois sur nos subconscients comme autant de références à des textes devenus célèbres, qu’ils soient d’Alexandre Dumas, Jack London, ou encore d’Oscar Wilde pour ne citer que ceux-ci. Etrange phénomène qui nous conduit à une perception romanesque de la cruauté, comme si cet ouvrage vous faisait frissonner d’horreur de manière délicieuse.
Fait de courts chapitres, à chaque fois enrichis d’une empreinte de bois gravé résumant parfaitement la scène, ce livre est à déguster à petites doses et est à la portée de chacun.
S’il vous plait de vous plonger dans un univers aussi captivant que passionnant, dans une époque où se faire couper la tête était normal pour qui a fait preuve d’extrême violence envers autrui, lisez «Horrifiantes histoires du Messager boiteux», vous en retirerez de multiples enseignements tout en vous divertissant.

Il s’en passe de belles au cœur de la douce Helvétie ! Après avoir perdu son patron, sauvagement assassiné, Nick Olay se retrouve seul pour tenter de résoudre de bien sombres affaires. Tout au long de ses pérégrinations claudicantes, il visite les studios de la TSR à Genève, fouine dans la chimie bâloise, allie plaisir du jazz et sagacité au Festival de Montreux. Il lui arrive aussi de traverser l’Oberland bernois en train ou d’écarter les doigts de pieds en éventail sur les bords du lac de Neuchâtel. Mais ses talents s’exercent aussi é l’étranger, au secours des polices françaises ou américaines. Malgré quelques déboires, son efficacité reste entière, comme vous pourrez le constater à la lecture de ces huit passionnantes nouvelles.

Acte de brigandage, entreprise économique ou moyen politique, la piraterie est multiple et, sous des aspects très différents, elle se manifeste à toutes les époques et sur tous les continents. Bien loin du type classique du pirate cher aux romans d’aventure. Des Barbaresques au drame des boat people, des flibustiers aux terroristes et aux radios-pirates, c’est un véritable phénomène que les points de vue d’une trentaine de spécialistes explorent ici dans sa totalité.
Mais ces «Vues sur la piraterie» - analyses, récits ou témoignages – mettent en jeu d’autres approches qui touchent à l’histoire des marginalités, des médias ou des pratiques illicites, sans oublier, bien sûr, celle d’une grande légende.

Bandes dessinées

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